En plus de la surcharge, de l’insécurité, de l’insalubrité et de la présence de chats dans les services, l’hôpital fait face à une anarchie indescriptible. Il est loisible de constater, chaque matin, selon le corps médical, la désorganisation de l’accueil des malades face à l’exiguïté des locaux.

Depuis des lunes ramadanèsques, la zalabiya n’est plus la zalabiya quand bien même elle s’appellerait Boufarik. La zalabiya, ces petites dentelles de blé dur naguère ruisselantes de miel, légères volutes parfumées de cardamome, est devenue une sucrerie radioactive. Des spirales lourdes de glucides transformés.

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Et ça continu en 2018 ! :sad:

Bonjour, étant un ancien élève de ce prestigieux Lycée de 78 à1982, je garde de très beaux...

Salami je vous conseil de fermer ce l'y car il n est pas a la place qu' il faut je pense qu' il...

Salam, Bonjour J'ai fréquenté le Lycée Ibn Toumert entre 1981 et 1984. J'avais M.Delettre comme...

Fanfare de Boufarik
02.02.2018 22:55

:sigh: Yes!!! je me retrouve pendant ses années; lorsque la musique n'etait pas une...