Boufarik: entre saleté et insécurité
A Boufarik, l’autorité semble absente, c’est du moins ce que ressentent les habitants de cette ville.
A Boufarik, l’autorité semble absente, c’est du moins ce que ressentent les habitants de cette ville.
Plusieurs tronçons routiers, interquartiers, à Boufarik connaissent actuellement des travaux de revêtement et de bitumage.
Une famille prétendant être propriétaire d’une douche et d’un salon de coiffure à Boufarik depuis 1963 a assigné en justice les exploitants de ces fonds de commerce, qui, eux, ont acquis ces biens durant les années 1940.
En plus de la surcharge, de l’insécurité, de l’insalubrité et de la présence de chats dans les services, l’hôpital fait face à une anarchie indescriptible. Il est loisible de constater, chaque matin, selon le corps médical, la désorganisation de l’accueil des malades face à l’exiguïté des locaux.
Ce jour, le problème de l’habitat précaire continue de poser problème à Boufarik.
A environ un kilomètre de la gare ferroviaire de Boufarik en allant vers Blida, il existe un quartier communément appelé «El Ghers», où des piétons traversent la voie ferrée pour rejoindre leur petite localité.
Quels sont vos sentiments après votre élection à la tête de l’APC de Boufarik?
Je suis vraiment comblé par l’encouragement et le soutien des habitants de la ville de Boufarik, que je remercie au passage, qui m’ont accordé leur confiance.
Kamel Othmani, tête de la liste du Parti des travailleurs (PT), a été installé, mercredi, à la tête de l’APC de Boufarik après avoir obtenu 16 voix sur les 16 présents suite à un vote à bulletin secret.
Le Parti des Travailleurs présidé par Louisa Hanoune, A obtenu la majorité des voix du scrutin en détrônant le vieux parti qui a été sans doute sanctionner par les électeurs pour avoir très mal gérer les affaires de la ville.
Réputée à l’échelle nationale et adoptée depuis des années par les palais les plus exigeants, la zalabia de Boufarik (Blida), garde toujours son goût exceptionnel et inaltérable grâce à l’art de sa préparation qui se transmet de génération en génération.
Depuis des lunes ramadanèsques, la zalabiya n’est plus la zalabiya quand bien même elle s’appellerait Boufarik. La zalabiya, ces petites dentelles de blé dur naguère ruisselantes de miel, légères volutes parfumées de cardamome, est devenue une sucrerie radioactive. Des spirales lourdes de glucides transformés.
À cause d’une imprimante en panne, les clients de la SNTF souffrent depuis une semaine devant les guichets pour pouvoir acheter leurs billets de transport.
Et ça continu en 2018 ! :sad:
Bonjour, étant un ancien élève de ce prestigieux Lycée de 78 à1982, je garde de très beaux...
Salami je vous conseil de fermer ce l'y car il n est pas a la place qu' il faut je pense qu' il...
Salam, Bonjour J'ai fréquenté le Lycée Ibn Toumert entre 1981 et 1984. J'avais M.Delettre comme...
:sigh: Yes!!! je me retrouve pendant ses années; lorsque la musique n'etait pas une...