Une fête catastrophique à Boufarik
«Chitana», «Double bombe», «signal», tels sont les noms donnés aux différents pétards de toutes formes qui ont causé des dégâts lors de la nuit du Mawlid Ennabaoui.
«Chitana», «Double bombe», «signal», tels sont les noms donnés aux différents pétards de toutes formes qui ont causé des dégâts lors de la nuit du Mawlid Ennabaoui.
Le corps sans vie d’un quinquagénaire a été découvert, hier matin, dans la rue Rettal à Boufarik.
Organisées par l’établissement hospitalier de la ville de Boufarik, ces journées scientifiques ont attiré un nombre important de spécialistes, toutes spécialités confondues.
Des champs d’agrumes disparaissent à vue d’oeil.
Les souscripteurs des 130 logements LSP à Boufarik ont protesté avant-hier devant le siège de la daïra de Boufarik pour forcer le chef de daïra à intervenir auprès du promoteur chargé du projet afin qu’il livre rapidement les logements entamé depuis 2009.
Que se passe t-il à Boufarik ? Voilà une question qui ne cesse d’être posée par de nombreux Boufarikois.
Après avoir organisé, hier matin, un sit-in à Boufarik, devant la maison de jeunes de la cité Dallas, pour faire valoir leurs droits, les patriotes ont opté pour une deuxième forme de protestation.
Qui des Boufarikois, maintenant adultes et étant petits dans les années 1960 à 1980, n’ont pas mis les pieds, afin de passer le temps d’une session, en été, au centre de vacances Le petit Boufarikois, situé sur la montagne de Chréa, dans un site paradisiaque appelé La Glacière.
La construction d’une promotion immobilière, située à la rue Menad Mohamed (Boufarik), est bel et bien achevée.
Jadis fleuron de la riche plaine de la Mitidja, Boufarik sombre aujourd’hui dans l’anarchie et la saleté. Où sont ces manifestations culturelles, artistiques et sportives qui égayaient des journées mémorables la vie des Boufarikois et qui faisaient la joie de tous. La Fête des oranges, dont Boufarik tirait toute sa fierté, n’a pas eu lieu depuis des lustres. Où sont passées toutes ces variétés d’oranges, pourtant cultivées il y a à peine une vingtaine d’années, aux alentours de la ville et qui décoraient et donnaient des senteurs agréables du Grand Boufarik.
Une femme de 37 ans, qui s’est présentée récemment à l’hôpital de Boufarik pour accoucher, est décédée quelques instants après son arrivée à l’hôpital.
Et ça continu en 2018 ! :sad:
Bonjour, étant un ancien élève de ce prestigieux Lycée de 78 à1982, je garde de très beaux...
Salami je vous conseil de fermer ce l'y car il n est pas a la place qu' il faut je pense qu' il...
Salam, Bonjour J'ai fréquenté le Lycée Ibn Toumert entre 1981 et 1984. J'avais M.Delettre comme...
:sigh: Yes!!! je me retrouve pendant ses années; lorsque la musique n'etait pas une...