Boufarik : Une promotion immobilière non conforme
La construction d’une promotion immobilière, située à la rue Menad Mohamed (Boufarik), est bel et bien achevée.
La construction d’une promotion immobilière, située à la rue Menad Mohamed (Boufarik), est bel et bien achevée.
Jadis fleuron de la riche plaine de la Mitidja, Boufarik sombre aujourd’hui dans l’anarchie et la saleté. Où sont ces manifestations culturelles, artistiques et sportives qui égayaient des journées mémorables la vie des Boufarikois et qui faisaient la joie de tous. La Fête des oranges, dont Boufarik tirait toute sa fierté, n’a pas eu lieu depuis des lustres. Où sont passées toutes ces variétés d’oranges, pourtant cultivées il y a à peine une vingtaine d’années, aux alentours de la ville et qui décoraient et donnaient des senteurs agréables du Grand Boufarik.
Près de deux semaines après la démission du directeur du CEM Aït-Boudjemaâ de Boufarik, les parents d’élèves sont, de nouveau, montés au créneau et ont empêché les écoliers de reprendre les cours dans un établissement qui est sous l’emprise de malfaiteurs et de drogués.
Plus de 400 Patriotes se sont rassemblés, hier, à Boufarik, devant la Maison de jeunes au quartier populaire Dallas pour mener une action de protestation, afin de revendiquer leurs droits qu’ils estiment négligés par les pouvoirs publics.
Sur ce tronçon autoroutier, on a dénombré plusieurs décès ces dernières années.
Dans les plaines de la Mitidja, au milieu des orangers de la ville de Boufarik, une association de musique andalouse s’affirme de jour en jour, se dévoile comme une école de pérennisation de la musique issue de la lointaine et toute proche andalousie.
Des anciens travailleurs de cette unité, auxquels l’Etat a fait un désistement pour continuer d’exercer dans la filière agricole, seraient en négociation avec un promoteur immobilier pour lui céder ce bien à 16 milliards de centimes ! Cette transaction, qualifiée d’illégale, ne semble pas du goût de la société civile boufarikoise.
Il y a quelques années, l’ancien président de l’APC de Boufarik avait promis à la population de construire un marché couvert dans cette ville afin d’éradiquer le commerce informel. Il avait déclaré à la presse que même le montant consacré à ce projet (5 milliards) était réservé à cet effet.
Lundi matin, la ville de Boufarik a connu deux feux qui ont semé la panique. Le premier incendie a concerné le marché de fruits où huit carreaux, correspondant à une superficie de 300 m², sont partis en fumée.
Deux soumissionnaires à un avis d’appel d’offres émanant de l’APC de Boufarik (fourniture en divers produits) crient au scandale.
Une femme de 37 ans, qui s’est présentée récemment à l’hôpital de Boufarik pour accoucher, est décédée quelques instants après son arrivée à l’hôpital.
Alité depuis plusieurs mois, il essaye de combattre sa grave maladie avec courage, en attendant des jours meilleurs. Son état de santé ne cesse de se détériorer et sa mère ne compte que sur les âmes charitables pour que son fils soit sauvé.
Et ça continu en 2018 ! :sad:
Bonjour, étant un ancien élève de ce prestigieux Lycée de 78 à1982, je garde de très beaux...
Salami je vous conseil de fermer ce l'y car il n est pas a la place qu' il faut je pense qu' il...
Salam, Bonjour J'ai fréquenté le Lycée Ibn Toumert entre 1981 et 1984. J'avais M.Delettre comme...
:sigh: Yes!!! je me retrouve pendant ses années; lorsque la musique n'etait pas une...