Photo - RedaLe ministre des Travaux publics a, lors d’une visite de travail et d’inspection sur les chantiers de dédoublement de la RN 36 reliant Aïn Benian à Boufarik, en passant par Chéraga et Tessala El Merdja, sur 52 km, insisté sur le respect des délais de réalisation et de livraison de ces projets.

M. Amar Ghoul, qui a tenu inciter les entrepreneurs à augmenter la cadence et à réduire les délais de réalisation, a fait savoir que, «si à l’automne prochain, notamment au mois d’octobre, il n’y aura pas d’intempéries, une grande partie des projets sera livrée avant la fin de l’année en cours». Sur ce point, il a constaté que le taux d’avancement des travaux des grandes infrastructures est estimé à 83% du taux global d’achèvement.

Le ministre, qui s’est rendu sur la voix express Aïn Benian-Boufarik, sur un linéaire de 52 km, qui comporte des viaducs, des pénétrantes, des échangeurs et des bretelles, ne cesse de réitérer la nécessité de prendre en considération les dates fixées pour la réception de chaque projet. Comme il a appelé au respect de l’environnement en plantant des arbres et en créant aussi des espaces verts, pour plus d’harmonie. Le ministre a également appelé à la mise en place de plaques de signalisation et aussi de ne pas omettre l’éclairage tout au long des tronçons déjà réalisés et au respect des délais de livraison.

Poursuivant sa visite, Ghoul s’est rendu sur le site du grand viaduc et de la trémie, près du nouveau siège du ministère des Affaires étrangères, sur le boulevard Oulmane Khelifa. Sur ces projets de grande importance pour la capitale, le ministre a insisté sur le fait qu’il fallait raccourcir les délais et accélérer le rythme de travaux. Exigent, le ministre a affirmé que le niveau de travail de ces infrastructures est appréciable, aussi bien dans la qualité que les services.

Cependant, il a exhorté les entreprises nationales à fournir plus d’efforts car, dira-t-il, «elles peuvent encore faire mieux dans ce domaine au vu de tous les moyens mis à leur disposition». Pour ce qui est du coût de ces deux grands projets, le ministre a estimé que celui de «la voix express Aïn Benian-Boufarik avoisine les 10 milliards de dinars, tandis que le viaduc et la trémie du boulevard Oulmane Khelifa, ils sont estimés à 3,5 milliards de dinars.» Par ailleurs, le premier responsable du secteur a évoqué le sort des 172 familles expropriées qui habitaient sur le site de Oulmane Khelifa, en assurant qu’elles seront relogées et prises en charge par le wali-délégué de la capitale.

Source: La Tribune, publié le 10 septembre 2009


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