- Après un premier mandat en tant que membre de l’APC entre 1984/1989, vous revoilà président de l’APC de Boufarik : quelle est la (ou les) raison(s) qui vous a (ont) motivé pour ce retour ?

Avant tout, je tiens à remercier tous les Boufarikois qui m’ont soutenu et m’ont fait confiance. Ils sont venus me voir pour me demander de me porter candidat, je n’ai donc pas pu refuser à cet appel du cœur. Même s’il n’est nullement facile d’être maire d’une commune comme la nôtre. En 1984, j’avais 26 ans, aujourd’hui j’en ai 59, une expérience et un âge plus mûr que j’espère mettre au au service du citoyen.

- Est-ce que M. Bentakouka, maire en 2017, a la même vision qu’en 1984 ?

Non ! La vision a changé avec les mentalités car ces dernières ont énormément évolué, beaucoup de prérogatives ont été retirées et changées, on n’a presque rien laissé au maire. Avec le nouveau projet de loi concernant les APC ainsi que les données politico-économiques, j’espère voir beaucoup de nouveautés au profit de l’Assemblée populaire, et cela pour le bien et la bonne marche de toutes les communes d’Algérie.

- En quoi consiste votre feuille de route pour l’entame de votre mission ?

C’est tout un programme qui a été tracé et préparé avant les élections et qui touche tous les secteurs. Nous espérons le réaliser dans toute sa totalité pendant notre mandant. Il y a beaucoup de chantiers névralgiques qui attendent des solutions, comme l’informel sous toutes ses formes. D’ailleurs, la construction d’un marché de proximité (fruits et légumes) est un besoin vital pour la population locale et les nombreux commerçants qui veulent travailler dans la légalité. Autre nécessité à Boufarik, le lancement d’un nouveau plan de circulation...

- Avez-vous déjà envisagé des solutions pour remédier à tout cela ?

Notre priorité première à Boufarik, c’est de trouver une assiette pour un marché de proximité et d’en finir avec l’anarchie qui y règne depuis longtemps et qui a défiguré et déformé le beau paysage de notre ville. Avec tous les services de sécurité, on fera de notre mieux afin d’éradiquer une fois pour toutes l’informel. Pour le plan de circulation, nous envisageons déjà de le revoir en impliquant des experts.

- Un dernier mot…

Je dois m’acquitter convenablement de la mission qui m’a été assignée en tant qu’élu, mais tout cela se fera avec l’aide de tous les citoyens car Boufarik appartient à tous les Boufarikois!
 
Source: El Watan - 7 janvier 2018


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