Organisées par l’établissement hospitalier de la ville de Boufarik, ces journées scientifiques ont attiré un nombre important de spécialistes, toutes spécialités confondues.

C’est sous le thème «Qualité et sécurité des soins  infirmiers» que les premières journées scientifiques des paramédicaux ont eu lieu récemment à Boufarik. Organisées par l’établissement public hospitalier de la ville de Boufarik, plusieurs spécialistes dans le domaine médical, paramédical et pharmaceutique ont pris part à ces travaux. Ils ont en outre insisté afin que ces espaces d’échanges et de formation soient inscrits dans la durée. Le thème retenu pour cette journée symbolise l’engagement et le défi fixé à relever dans le cadre de la réalisation des objectifs stratégiques de développement de l’établissement hospitalier.

Plusieurs intervenants se sont succédé pour traiter différents thèmes, dont «La responsabilité médico-légale de l’infirmier», exposé par le professeur Messahli, du CHU de Blida. Avec son ton fort et clair, elle a expliqué à l’assistance paramédicale l’enjeu de la réglementation ainsi que l’acte médical de l’infirmier vis-à-vis de la loi. D’autres thèmes ayant attiré l’attention des présents sont relatifs notamment aux «complications post-anesthésiques dans la salle de réveil», «Nouveau protocole pour la prise en charge du pied diabétique», ainsi que «Le rôle du cadre paramédical face aux infections liées aux soins».

Mme Metaoui a axé son intervention sur les moyens utilisés pour les différents soins ainsi que la conscience professionnelle du soignant vis-à-vis du patient. Le thème lié aux «Risques transfusionnels» a été exposé par le professeur Bradaï, du CHU de Blida. Ce thème était tellement intéressant que l’assistance a trouvé nécessaire de donner plus de temps à cet intervenant. «Ces journées de formation sont très bénéfiques pour nous. On en a besoin pour compléter le savoir déjà acquis», a affirmé une infirmière. «Aujourd’hui, plus que jamais, nous sommes convaincus que la richesse d’une entreprise est bel et bien ‘‘l’homme’’ et que seules les compétences créent la valeur ajoutée en tant que vecteur du développement.

Du coup, nos investissements prioritaires seront davantage orientés vers l’acquisition du savoir et du savoir-faire par le biais des actions riches de perfectionnement du personnel», confie le directeur de l’hôpital de Boufarik. Ces journées sont nécessaires, car le personnel paramédical est aujourd’hui plus que jamais interpellé pour une mise à niveau obligatoire et permanente, afin qu’il ne soit pas dépassé par le développement rapide et perpétuel de la science médicale et paramédicale.
 
Source: El Watan du 21 decembre 2014


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