Au centre-ville, les commerçants informels squattent non seulement les trottoirs et les voies publiques, mais surtout se disputent les places à coups d’épées.


La plupart de ces commerçants vendent de la drogue sous les étalages. «Le commerce informel envenime la situation à Boufarik. Il est la source de tous les maux. Même les directives du Premier ministre, quant à l’éradication de ce genre de commerce, n’ont pas été appliquées chez nous. Pourquoi ? Tout simplement parce qu’il y a absence d’autorité», insiste un autre Boufarikois. Le mois de Ramadhan, qui est à nos portes, connaît le pic pour ce qui est des agressions et des vols. Les délinquants profitent de l’animation particulière que connaît Boufarik, durant ce mois, pour commettre leurs forfaits. Au mois de Ramadhan 2012, l’hôpital de Boufarik ne pouvait plus recevoir de blessés à partir de… 14h, tant les agressions et les disputes faisaient fureur dans cette ville. Craignant le pire, les Boufarikois espèrent que le triste scénario de l’année dernière ne se reproduira pas cette année.
                  
Source: El Watan - 27 juin 2013


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