En plus de la surcharge, de l’insécurité, de l’insalubrité et de la présence de chats dans les services, l’hôpital fait face à une anarchie indescriptible. Il est loisible de constater, chaque matin, selon le corps médical, la désorganisation de l’accueil des malades face à l’exiguïté des locaux.


Quelques voitures appartenant au corps médical et/ou aux accompagnateurs de malades suffisent pour bloquer les issues, sous le regard indifférent des agents chargés de la sécurité. Ceux-ci donnent l’impression de «vaguer». Il arrive même que le docteur Mohamed Yousfi, chef de service des maladies infectieuses, se déplace de son service pour mettre de l’ordre pour permettre aux présents de circuler. «Cette situation se répète quotidiennement sans que la direction de l’hôpital prenne les mesures adéquates pour y remédier», regrette-t-il. Et de poursuivre : «L’hôpital de Boufarik risque de céder à tout moment. Il est très ancien. Je me demande pourquoi les différents ministres de la Santé qui ont pris les commandes de ce secteur ainsi que les autorités locales de Blida n’ont jamais pensé à construire un nouvel hôpital à Boufarik ? Et pourtant, cela s’impose et il y a urgence à le faire».

Source: El Watan - 10 mars 2013


Commentaires  
dr yousfi se déplace de son service pour mettre de l’ordre pour permettre aux présents de circuler !!!! hadi makanche menha esmahli rak tekdeb .... :lol:
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