Ce jour, le problème de l’habitat précaire continue de poser problème à Boufarik.

Plusieurs bidonvilles continuent de ternir le décor de la capitale de la Mitidja. En-dehors du fameux bidonville Chabir, on trouve, à quelques kilomètres de Boufarik, Haouch Mohamed Menaâ, composé d’habitations précaires. Il continue «d’offrir» de la souffrance et de la précarité à ses habitants. La famille Baïtour en est un bon exemple. Elle vit dans une pièce construite à base de zinc et de carton ! «Cela fait plusieurs années que nous avons déposé notre demande de logement, en vain. En 2013, on vit avec les rats et autres rongeurs, c’est grave !», nous déclare Mme Baïtour. Et de poursuivre : «A la moindre goutte de pluie, on devient sinistrés. Les autorités locales nous promettent un toit digne de ce nom, mais en fait ce ne sont que de fausses promesses. Nous avons introduit un recours lors de la dernière distribution de logements à Boufarik ,mais sans résultat.»

A propos du recours, les Boufarikois crient au scandale. «On a introduit des recours lors de la dernière distribution de logements au site de Sidi Aïssa. Aucune suite n’a été donnée à nos réclamations. Et pourtant, les autorités locales avaient l’habitude d’être plus honnêtes, en affichant à nouveau les listes de bénéficiaires après recours, comme cela a été le cas des 62 logements distribués au site de Guerrouaou. Cette fois, et concernant le quota de 104 logements du site de Sidi Aïssa, on pense qu’il y a anguille sous roche !»    

Source: El Watan - 13/01/2013


Commentaires  
Je n'ai aucun lien avec ces commentaires , et je ne voie pas comment vous avez fait pour m 'envoyer cet e mail.Bref Boufarik cela fait des décennies que je n'y habite plus.Salutations
Je vous suggère d'aller jeter un coup d'oeil sur l'histoire de Boufarik et vous saurez parfaitement que les bidonvilles dont vous faites allusion existaient bien avant la création de la ville, à savoir entre autres BOUAGAB, SOUK ALI (actuellement BOURARI du nom de BORELLY, SIDI MAHFOUD, SIDI AYED, etc... SANS RANCUNE.
D'abord tous ceux qui habitent dans ces bidonvilles ne sont pas Boufarikois de souche, ils arrivent de leur campagne ou montagne ils n'avaient qu'à y rester
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