A Boufarik, la vente «libre» des différentes drogues et boissons alcoolisées à ciel ouvert ne cesse de constituer une source d’inquiétude pour les habitants de cette ville.
Le marché informel de la rue Rettal est devenu le fief des consommateurs et vendeurs de drogues et de boissons alcoolisées. Le mausolée du saint, Sidi Abdelkader, en serait un dépôt ! «Même pas de respect pour les morts. Les délinquants, pour ne pas dire les criminels, agissent en toute impunité en plein centre-ville et non loin des commissariats. Cela ne fait qu’expliquer la recrudescence du phénomène de l’insécurité à Boufarik. Où est l’Etat ? », se demandent des Boufarikois. Ces derniers viennent d’envoyer deux requêtes, l’une à l’Inspection régionale de la police de Blida, et l’autre à la DGSN pour dénoncer l’impunité qui règne dans une ville devenue synonyme d’insécurité et de prolifération des drogues.
Source: El Watan - 2 avril 2013