Boufarik : Sidi Aïd, un douar délaissé
Habité par des centaines de familles, le douar Sidi Aïd, distant de quatre kilomètres de Boufarik, commune dont il relève, est abandonné à son triste sort.
Habité par des centaines de familles, le douar Sidi Aïd, distant de quatre kilomètres de Boufarik, commune dont il relève, est abandonné à son triste sort.
Le P/APC de la ville de Boufarik risque la prison ferme et une forte amende pour diffamation après avoir accusé le trésorier chargé des recettes du stade Mohamed-Reggaz et la salle omnisports de dilapidation de deniers publics.
Des repris de justice, des délinquants en tout genre et des malfrats de la région font la pluie et le beau temps. Ils narguent les autorités locales en paradant, sabre à la main.
Le service de toxicologie à l’hôpital de Boufarik a enregistré, avant-hier, 60 cas d’intoxication de personnes ayant pris des repas rapides dans une pizzeria à Boufarik et 31 autres dans un mariage qui a eu lieu au quartier de Sidi Aïssa, commune de Guerouaou.
Depuis le début du mois de Ramadhan, la ville de Boufarik reste la destination préférée des jeûneurs pour acheter de la zalabia, cherbet ou des galettes de pain.
Réputée à l’échelle nationale et adoptée depuis des années par les palais les plus exigeants, la zalabia de Boufarik (Blida), garde toujours son goût exceptionnel et inaltérable grâce à l’art de sa préparation qui se transmet de génération en génération.
Depuis des lunes ramadanèsques, la zalabiya n’est plus la zalabiya quand bien même elle s’appellerait Boufarik. La zalabiya, ces petites dentelles de blé dur naguère ruisselantes de miel, légères volutes parfumées de cardamome, est devenue une sucrerie radioactive. Des spirales lourdes de glucides transformés.
À cause d’une imprimante en panne, les clients de la SNTF souffrent depuis une semaine devant les guichets pour pouvoir acheter leurs billets de transport.
Dans son programme d’activité du mois de Ramadhan, l’association El-Djenadia, qui s’est distinguée par sa participation aux Journées de l’Andalou de Cirta, organisées à Constantine, a achevé son programme du mois en organisant une soirée musicale au profit des familles boufarikoises.
Des citoyens de cette ville ont envoyé une pétition au Directeur général de la Sûreté nationale ainsi qu’à l’inspecteur régional de la police de Blida afin de crier leur désarroi quant à la détérioration de la situation sécuritaire.
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Par ailleurs les combattants de l’ALN se sont attaqués à plusieurs ponts :
La ville de Boufarik qui se clochardise de plus en plus, s’apprête à réceptionner la troisième fontaine publique, après avoir mis en fonction celles de la sortie ouest et nord de la ville.
Et ça continu en 2018 ! :sad:
Bonjour, étant un ancien élève de ce prestigieux Lycée de 78 à1982, je garde de très beaux...
Salami je vous conseil de fermer ce l'y car il n est pas a la place qu' il faut je pense qu' il...
Salam, Bonjour J'ai fréquenté le Lycée Ibn Toumert entre 1981 et 1984. J'avais M.Delettre comme...
:sigh: Yes!!! je me retrouve pendant ses années; lorsque la musique n'etait pas une...