Une femme pratiquait illégalement des avortements à son domicile.

Un jeune homme, âgé de 23 ans, faisant l’objet d’une condamnation à la prison ferme et d’un mandat d’arrêt du tribunal de Boufarik (Blida) est décédé à l’hôpital de la ville, apprend-on, hier, auprès de la sûreté de wilaya.

L’hôpital de Boufarik, qui abrite le service infectieux, se trouve dans un état de délabrement. La structure date du XIXe siècle.

Au centre-ville, les commerçants informels squattent non seulement les trottoirs et les voies publiques, mais surtout se disputent les places à coups d’épées.

Si les responsables locaux n’interviennent pas à temps, une décharge d’ordures risque d’apparaître et cela au centre-ville même.

Suite à un article paru dans les colonnes de notre journal faisant état d’un climat inquiétant d’insécurité à Boufarik, les services de sécurité urbaine de la daïra de Boufarik ont effectué une opération qui a ciblé une maison abandonnée et à moitié démolie.

Suite une information faisant état qu’un groupe de dealers vendant des psychotropes connu sous le nom “Chitana” au prix de 4000 DA le comprimé, une enquête a été déclenchée par la police judiciaire de Boufarik.

A Boufarik, la vente «libre» des différentes drogues et boissons alcoolisées à ciel ouvert ne cesse de constituer une source d’inquiétude pour les habitants de cette ville.

Le phénomène du cambriolage des maisons ne cesse de prendre de l’ampleur à Boufarik.

Mercredi matin, devant le cimetière chrétien de Boufarik, des citoyens vaquant à leurs occupations ont découvert le cadavre inerte d’un homme âgé de 42 ans, habitant la cité Miamy.

L’ex-président de l’Assemblée populaire de la ville de Boufarik et le chef de parc communal ont été placés jeudi dernier en détention préventive par le tribunal d’El-Affroun.

Les services de sécurité de Boufarik viennent d’arrêter une dizaine de mafieux qui ont semé la terreur dans la ville. Ils ont été présentés au parquet près le tribunal de Boufarik.