Antar Zouabri, Célèbre et Inconnu
À Boufarik, dans la plaine de la Mitidja, la mort du chef du GIA a laissé les habitants indifférents: récit de la fin d'une histoire que personne ne connaît vraiment.
À Boufarik, dans la plaine de la Mitidja, la mort du chef du GIA a laissé les habitants indifférents: récit de la fin d'une histoire que personne ne connaît vraiment.
Le chef du Groupe islamique armé (GIA), Antar Zouabri, a été abattu vendredi dernier par les forces combinées de l'armée et de la police dans une maison, sise rue des frères Kerrar, au quartier Grite, à Boufarik, dans la wilaya de Blida.
Huit membres de l’Assemblée, soit la majorité des élus, ont, dans une lettre rédigée chez un huissier de justice et adressée à la tutelle, retiré leur confiance au président de l’APC de cette ville.
Sur la petite allée bordée de platanes, à la sortie est de la ville, les petits attelages de mulets, chargés de carottes, de salades et de coriandre, se faufilent entre la file de camions gorgés de pommes de terre et de tomates pour entrer les premiers, dans la brume matinale, au marché de gros de Boufarik.
Après la chasse aux couples, l’inquisition gagne Internet. Un vent de censure souffle sur la ville des Orangers. Les gérants des cybercafés sont tenus de signaler quotidiennement les listes de leurs visiteurs ainsi que toute consultation suspecte sur le net au nom d'une "cybermoralisation des mœurs" et une lutte contre la subversion. Après les couples, les internautes…
"A Boufarik, nous nous sommes sentis totalement étrangers lorsque les intégristes ont pris la ville. Nous n'y avions plus notre place." Les traits tirés, le visage cerclé par une barbe de plusieurs jours, Ghanou accepte de témoigner.
On a appris hier qu'un autre attentat avait eu lieu mercredi à Boufarik (35 kilomètres au sud d'Alger).
Le GIA a frappé à Boufarik, une ville symbole de la résistance au terrorisme intégriste. La veille, douze terroristes ont été abattus à la Casbah d'Alger.
En l'espace de quatre jours, la ville de Boufarik a été le théatre de quatre explosions de bombes. Des dizaines de familles endeuillées et sinistrées, sous le choc et l'émotion, s'indignent en faisant serment que dorénavant tous feront face aux terroristes intégristes. Boufarik sous les bombes, la population de cette ville vit l'horreur au quotidien. Il ne se passe pas un jour sans que des dizaines de familles ne soient endeuillées et sinistrées par les agissements barbares des terroristes intégristes.
BOUFARIK, la ville des oranges, vient de connaître un vrai carnage. Cinq personnes assassinées à l’arme blanche, deux journalistes, deux membres de l’exécutif communal et un chômeur. Tout a commencé le mercredi 1er décembre vers 23 heures, lorsqu’un groupe de terroristes d’une trentaine d’hommes a investi la cité Maya, à la sortie de la ville.
Alors que l'affaire doit être jugée ce mardi, le FLN s'autoflagelle.
Le 22 juin 1979 une tragédie a frappé la ville Boufarik sur ce déraillement de train qui a décimé une famille.
Et ça continu en 2018 ! :sad:
Bonjour, étant un ancien élève de ce prestigieux Lycée de 78 à1982, je garde de très beaux...
Salami je vous conseil de fermer ce l'y car il n est pas a la place qu' il faut je pense qu' il...
Salam, Bonjour J'ai fréquenté le Lycée Ibn Toumert entre 1981 et 1984. J'avais M.Delettre comme...
:sigh: Yes!!! je me retrouve pendant ses années; lorsque la musique n'etait pas une...